Share Button

IK Investment Partners, l’une des principales sociétés européennes de capital-investissement, annonce que le Fonds IK VIII (« le Fonds ») est entré en discussions exclusives avec Equistone Partners Europe (“Equistone”), Céréa Partenaire, Azulis Capital et l’équipe de management en vue de l’acquisition d’une participation majoritaire dans Mademoiselle Desserts, leader dans le domaine de la pâtisserie surgelée. Le montant de la transaction serait de l’ordre de 330 M€ selon Les Echos Capital Finance.

La belle était convoitée par plusieurs. C’est finalement le fonds d’Investissement IK qui remporte la partie devant deux autres prétendants PAI Partners et Towerbrook. Selon Les Echos Capital Finance, le deal s’éleverait à environ 330 M€. L’équipe de management réinvestira aux côtés du Fonds, indique Mademoiselle Desserts dans un communiqué. « L’expertise avérée d’IK dans l’agroalimentaire en fait le partenaire idéal et, avec leur soutien, Mademoiselle Desserts est bien positionnée pour continuer sa croissance et sa stratégie d’acquisition pour laquelle nous avons été dynamiquement soutenus par Equistone au cours des dernières années », affirme Didier Boudy, PDG de Mademoiselle Desserts.

« Mademoiselle Desserts s’inscrit parfaitement dans la stratégie d’investissement d’IK. Nous avons été impressionnés par le développement du groupe en France, au Royaume-Uni et aux Pays-Bas. Nous allons travailler activement avec l’équipe dirigeante pour étendre l’offre du groupe via la poursuite d’opportunités d’acquisition ciblées », ajoute Rémi Buttiaux, Associé chez IK et conseil du Fonds IK VIII.

Fondé en 1984, Mademoiselle Desserts, jadis Européenne de Desserts, est le leader européen dans le domaine de la pâtisserie surgelée premium.

Le groupe compte des sites de production en France, en Angleterre (après avoir racheté Speciality Desserts, The Handmade Cake Company et Ministry of Cake) et aux Pays-Bas (Quality Pastries) et emploie près de 1 300 personnes. La réalisation de l’opération reste soumise à la consultation des comités d’entreprise et à l’approbation des autorités de la concurrence.

La suite sur : Snacking.fr